Ségolène Moussala: « Notre contribution pour bâtir notre pays »


Co-organisatrice de l’événement « Celebrating Women »

 

Vous êtes à la tête de « Celebrating Women » un festival dédié à la Femme. Qu’est-ce qui vous a suggéré l’idée d’une telle initiative ?

L’idée d’organiser « Celebrating Women » est partie du constat selon lequel les femmes évoluent trop souvent en rangs divisés. Dans nos appréhensions, l’on va jusqu’à prétendre que l’ennemi de la femme c’est la femme. Où est l’intérêt d’être capable de faire des choses formidables si c’est pour rester isolé(e) dans son environnement? Comment évolue-t-on sans partager des expériences? Nous avons besoin de communion, de solidarité et d’auto encouragement. D’où l’idée, en partenariat avec Gaëlle Onana du magazine « C’KOMENT », de réunir le maximum de femmes autour du « Celebrating Women ».

Quels sont les défis qu’entend relever un tel évènement ?

Honnêtement, le plus gros défi c’est l’événement en lui-même. Nous parlons ici de réussir à faire adhérer le maximum de personnes au concept. C’est une première édition donc un nouveau produit que nous offrons. Nous devons être capables de faire comprendre la vision et l’intérêt de briser la barrière du « Je ne comprends même pas bien votre affaire » ou bien « Qu’est-ce que ça peut m’apporter ? ». Les équipes des magazines « Starter » et « C’Koment » sont jeunes, mais nous essayons malgré tout d’apporter notre contribution pour bâtir des choses de qualité dans notre pays. Nous voulons encourager plus de jeunes à rejoindre le mouvement de ce dynamisme au féminin, que ce soit avec nous ou avec d’autres. Il y a tellement à faire !

La première édition du « Celebrating Women » est achevée. Y a-t-il des projets en perspective ?

Il faut déjà savoir que le festival est également organisé par le business webzine : « Starter Magazine ». En ce qui concerne donc l’après « Celebrating Women », il ne sera nullement question de baisser les bras. Nous nous concentrerons sur la production d’un nouveau numéro de notre magazine, tout en nous attelant à murir le projet de ce festival.


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