Pas moins de dix prises de parole, pour disséquer, décortiquer, analyser et partager le contenu de « Pour le libéralisme communautaire » de Paul Biya, président de la République, aux populations de la région du Sud, réunies à Ebolowa.
La salle polyvalente du Collège régional d’agriculture n’a pas pu contenir le nombreux public venu vivre, sûrement, l’un des événements politiques et litteraires majeurs de l’année.
Avec comme chef d’orchestre, le ministre des Arts et de la Culture (Minac), Pr. Narcisse Mouelle Kombi, la cérémonie de présentation de l’ouvrage a pris les allures d’une démonstration éclairée de la vision politique du chef de l’Etat.
Après la bienvenue souhaitée à cet important et imposant parterre de personnalités par Guy Roger Zo’o Olouman, délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine d’Ebolowa, le Pr. Narcisse Mouelle Kombi est allé tout de suite puiser dans la culture égyptienne ancienne pour dire que « Paul Biya a donné le libéralisme communautaire aux Camerounais pour que le Cameroun devienne un paradis terrestre ».
Parlant de la qualité exceptionnelle du livre, le Minac va décrire l’ouvrage comme « un chef d’oeuvre », non seulement par la qualité de l’auteur, mais par la vision de l’homme qui tient la barre du Cameroun avec maestria et cohérence pour le mener à bon port.
Prenant la parole, le Pr. Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur (Minesup), par ailleurs chef de la délégation régionale du Comité central du RDPC pour le Sud, a peint Paul Biya comme un homme d’action. Rebondissant sur le propos du Minac, le Minésup a su faire, arithmétiquement, la démonstration que Paul Biya, lui-même, est « un chef d’oeuvre » que « tout Camerounais devrait élire ».
Du nom Paul Biya à la date du 7 octobre 2018, en passant par d’autres noms et dates majeurs de l’histoire du Cameroun, Jacques Fame Ndongo saura faire le rapport, en chiffres 4+4 plus ou moins un ou deux, que Paul Biya est un phénomène, un homme au destin exceptionnel .