A quelques semaines de l’ouverture de la première édition de la Fiac-PmeXchange, où en êtes-vous dans l’organisation ?

Le gouvernement nous a choisis pour organiser la première édition de la Fiac PmeXchange de Douala. Sur le site de la foire, les préparatifs s’accélèrent. Nous avons entamé l’aménagement des stands, hangars, podiums et autres, qui devront accueillir les exposants, les visiteurs et même les artistes.

Pensez-vous pouvoir réussir à faire venir les exposants étrangers dans un contexte marqué par l’épidémie du coronavirus ?

Nous attendons des entrepreneurs en provenance de la sous-région Afrique centrale et d’ailleurs, notamment d’Allemagne. Nous ne pouvons nous prononcer sur leur participation effective, tant que nous n’avons pas encore des entreprises qui ont décommandé. Bien que nous regrettions l’absence d’une délégation d’entrepreneurs nigérians, nous espérons qu’à la prochaine édition, nous pourrons les compter parmi les exposants de la Fiac-PmeXchange.

Quelles sont les principales activités prévues au cours de cet évènement ?

La principale activité de la Fiac-PmeXchange est la foire commerciale. Comme le thème l’indique, « le commerce dans tous ses états », la foire sera principalement dédiée au commerce. Les opérateurs économiques entre eux pourront vendre et acheter leurs produits, avoir des discussions économiques et nouer des relations d’affaires. Les visiteurs pourront découvrir et s’intéresser au savoir-faire des entreprises locales. La particularité de la foire-exposition est que, les entreprises ont décidé de se regrouper en collectivité d’affaires pour accroître leur visibilité ainsi que les retombées économiques de la foire. Dans le volet animation, nous avons prévu des prestations d’artistes tous les soirs jusqu’à minuit. Deux manèges seront installés ainsi qu’une garderie pour enfants.