La start-up permet aux internautes de tirer des supports via des logiciels et des applications.

Imprimer à partir du numérique, c’est l’offre de « Dolphprint ». Le slogan de la start-up : « C’est possible en un clic ! », en dit long. Ce programme d’accompagnement permet aux internautes d’entrer facilement en contact avec une imprimerie. En partenariat avec des entreprises françaises et allemandes, la start-up met à la disposition des usagers des services liés au domaine de l’édition. Notamment, la création graphique et l’impression sur tous supports. Mais aussi des studios photos pour mannequins, designers, décorateurs et bien d’autres.  Conçue et réalisée par Stéphane Agoume Koufana, 23 ans, ingénieur en génie logiciel, « Dolphprint » voit le jour en 2015. « Mon objectif est d’aider les gens à régler les problèmes de tous les jours », explique le promoteur.

Composée de plusieurs services, la start-up regroupe de nombreuses activités. Le « dolphworker », service permettant aux internautes d’améliorer leurs compétences, le « dolphteaching », programme aidant la femme à s’autonomiser et une stratégie d’intégration des technologies de l’information et de la communication dans l’agriculture appelée « dolphagri ». « Nous voulons aider les internautes tant sur le plan physique que moral. Pour un début, nous sommes axés sur l’édition. Fabrication des visuels, imprimerie et studios photos », explique Hervé Elégué, développeur web. Ainsi, l’équipe travaille avec un répertoire d’imprimeries, de laboratoires-photos et de photographes professionnels.

Cette catégorie de proximité leur permet de gagner du temps tout en proposant aux clients le meilleur rapport qualité-prix. Pour ce faire, le client passe simplement sa commande via Whatsapp, Facebook, ou par email. La « dolphteam », composée de Stéphane Agoume Koufana, Hervé Elégué, Armel Nlep, gestionnaire de projet et Eugenie Rose, community manager, surveille la production. Et par la suite, se charge de la livraison. Face à la difficulté des entreprises à s’arrimer aux exigences du numérique, Stéphane Agoume et ses collaborateurs sont obligés de se rendre dans ces structures pour les inciter à passer des commandes.